L’année 2016 touche à sa fin et nous aurons parcouru ensemble des distances qui nous « séparaient » de notre vérité, de notre véritable identité …
Malgré ces milliers de km parcourus, je continue d’être heureuse depuis toutes ces années (2008), de transmettre les fréquences d’ISMA. Merci à vous, pour ces temps précieux de partages et d’éveil, grâce auxquels nous pourrons témoigner de notre désir de voir se transformer nos réalités intérieures …
En effet notre fréquence se désolidarise de plus en plus des anciennes formes de croyances, mémoires, mensonges, projections mental ect… Nous sommes amenés par nos prises de conscience au travers de nos corps mental, émotionnel et causal à réaliser les possibilités que nous avons de revenir à un espace en soi, d’avant le cahot, la chute ou d’avant l’endormissement.
L’heure du réveil des âmes a bel et bien sonné sur notre planète, cette résonance ne peux empêcher l’installation de la vérité et c’est bien ce qui est en passe de se réaliser.
Partant du fait que nous ne sommes pas qu’un corps de chair, notre ancienne structure interne qui s’appuyait sur des schémas désolidarisés de la Source et faite d’une géométrie sclérosée et sclérosante, ne peux absolument pas s’harmoniser avec les nouvelles fréquences* en provenance du cosmos. C’est pourquoi tout en nous explose de toute part, à l’image de notre monde qui ne peux plus nous contenir ni nous maintenir dans l’ ignorance de notre véritable identité.
Peu à peu notre ancienne geôle se disperse en mille éclats, attirés tel un aimant dans le creuset alchimique des transformations. Cette dissolution a pour effet de mettre en lumière notre véritable structure composée d’informations cosmique, stellaire, cristalline et diamantine. Elle nous transformera profondément dans tous les espaces de notre être. Cette géométrie vibre au diapason de la loi d’Amour qui gouverne l’univers. Cette loi du UN, nous soumet de plus en plus au respect de soi et donc du vivant, et au respect de l’évolution de toutes formes de vie. (…)
Hayet AYAD – Tiré de la NLetter de décembre 2016
About Hayet Ayad
Hayet, auteure, éveilleuse et harmonisatrice par le son et les fréquences solaire et stellaire. Je vous invite à découvrir au travers des liens vidéo et audio les étapes de mon cheminement qui m'amenna de l'interprétation du chant sacré des trois cultures juive, chretienne et musulmane au chant SOLAIRE pour l'âme, que je baptisai ISMA acronyme de Identité Solaire et Magnétique de l'Amour et proposé sous forme de séances individuelles et collectives.
Mon parcours ...
Hayet AYAD est d'origine Kabyle, autodidacte elle mène depuis l'âge de vingt et un an un parcours artistique, centré sur la promotion des idées de tolérance et de coexistence pour la paix et l’amitié entre les peuples.
De nombreuses représentations en Europe, aux Etats-Unis et dans le monde arabe, furent l'occasion de collaborations et de rencontres qui placent Hayet Ayad parmi les artistes recherchées du monde musical méditerranéen.
Elle puise son inspiration dans le répertoire traditionnel des chants sacrés de l’Espagne des Trois Cultures dite des "trois religions" juive, chrétienne et musulmanne et de la tradition orale du bassin méditerranéen.
Romances, Cantigas, Chants arabo-andalous font partie de son répertoire.
En 1990, elle crée l’ensemble Wayal avec lequel elle enregistre Voix de la méditerranée médiévale et chemin de Troubadours.
En 1991, avec Jean-Paul Linder, elle est à l’initiative de la création du Festival International "Voix et Routes Romane" à Strasbourg.
En 1997, elle est désignée "Voix de l’année" par la Spedidam, dans le registre des musiques du monde et traditionnelles.
En 2001, la Fondation Alsace lui décerne le prix de l’artiste interprète de l’année. Cette même année elle est l'interprête au cinéma du "Chant de la Paix" et du chant Egyptien dans le film "Swing"deToni Gatlif.
En 2002, elle est invitée par "the Boston Camerata" dirigé par Joël Cohen à l’enregistrement du disque "Cantigas" dans la ville de Fès au Maroc. Suivra une tournée de deux ans aux Etats Unis. Ce disque sera primé par la Fondation Edison Award.
En paralèlle elle crée le spectacle "Mawal" avec l’Orchestre arabo-andalou de Fès, dirigé par Mohamed Briouel. Invitée par Monseigneur Doré,ce concert sera donné en avant première dans la cathédrale de Strasbourg devant 2000 personnes.
En 2003, dans le cadre de "l'Année de l'Algérie en France",elle crée et présente le spectacle Mounia Dounia dans lequel elle interprète ses propres textes en français et en kabyle. Un documentaire DVD diffusé sur des chaines télé présente cette création et son parcours sous le titre Hayet AYAD un chant pour la Vie.
Cette année sera décisive dans son cheminement à la quête de ses racines ...Elle quittera la france pour séjourner en Andalousie quelques années plus tard.
En 2004, elle crée le spectacle en solo Chants de la Tassaout inspiré de l’ouvrage de René Euloge.
En 2006, elle séjourne en Andalousie et entame un travail de recherche sur le patrimoine arabo-andalou.
De cette résidence naitra un nouveau spectacle Jardins d'Orient en collaboration avec le musicien et musicologue marocain de Tétuan Amin Chaachoo . Elle enregistre son dernier disque « Jardins d’Orient » avec José Maria Cortes - Chemon- musicien Sévillan.
Un temps d'introspection de plusieurs années ...
Des rêves et des synchronicités l'accompagnent durant une traversée de desert necessaire qui lui ouvrira un nouvel horizon dans son parcours humain au service de l'éveil de la conscience. De cette période de gestation intense naitra notament son livre Le fil harmonique des âmes .
Cette transformation interieure l'amenera à trouver en elle un nouveau potentiel et à accompagner par sa voix à la ré harmonisation de l'être. Dèlors elle transmettra un chant porteur de fréquences particulières dans le cadre de séances collectives qu'elle baptisera ISMA.
En paralelle aux séances isma, Hayet travaillera sur les musiques d'un projet Les Chants d'une âme . Accompagnée d’une bande son originale, elle présente ce nouveau spéctacle à partir de 2012, année qui marquera la date de son retour sur scène après une absence de sept années.